Tesla Inc. fait l’objet d’une surveillance accrue de la part des régulateurs fédéraux concernant son système d’aide à la conduite connu sous le nom d’Autopilot, le constructeur de voitures électriques étant la cible d’une « commande spéciale » en raison d’inquiétudes concernant une éventuelle solution de contournement de la surveillance destinée à garder la main sur les conducteurs. la roue.
La National Highway Traffic Safety Administration a déclaré dans une lettre publiée sur le site Web de l’agence le 29 août qu’elle avait appris que Tesla avait « introduit une configuration de pilote automatique qui, lorsqu’elle est activée, permet aux conducteurs utilisant le pilote automatique de conduire leur véhicule pendant de longues périodes sans pilote automatique. invitant le conducteur à appliquer un couple sur le volant.
La lettre de l’agence, datée du 26 juillet, demandait à Tesla de répondre avant le 25 août pour aborder la possibilité que cette fonctionnalité puisse être utilisée pour contrecarrer les efforts visant à garder les conducteurs alertes et prêts à reprendre le contrôle total du véhicule.
On ne sait pas si l’entreprise a respecté ce délai. Tesla n’a pas eu de réponse immédiate à une demande de commentaire.
Le site Web de Tesla indique que le logiciel Autopilot est « destiné à être utilisé avec un conducteur pleinement attentif, qui a les mains sur le volant et est prêt à prendre le relais à tout moment ».
L’enquête Autopilot, lancée par la NHTSA en 2021, fait partie d’une série d’enquêtes ciblant Tesla, ses produits et son PDG, Elon Musk. Les régulateurs fédéraux étudient d’éventuels problèmes avec les ceintures de sécurité, les volants et les fonctions d’assistance à la conduite de Tesla.
